Jeudi 07 Mai 2009
Le porte-monnaie
Elle s'assoient à table. La Chouette sort méticuleusement toutes les pièces en toisant sa copine, qui chouine un peu. "C'est le porte-monnaie de Lisa ! Elle a le droit de ne pas te le prêter", je dis à la Chouette, simplement. Alors qu'elle agace sa copine depuis un moment, elle range toutes les pièces et tend aussitôt l'objet à Lisa.
Une ou deux minutes s'écoulent et Claire dit à sa fille : "C'est ton porte-monnaie mais quand tu seras prête, j'aimerais que tu réfléchisses à l'idée que la Chouette puisse jouer avec aussi." Lisa reste quelques instants sans bouger puis tend soudainement le porte-monnaie à la Chouette.
Les deux filles retournent jouer.
Pour vous, c'est peut-être anodin, mais pour moi, c'est une récompense !
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Mardi 13 Janvier 2009
Comment encourager les enfants à nous aider ?
Question à se poser : "au lieu d'insister pour qu'une chose soit faite tout de suite, pourrais-je laisser [à mon enfant] le choix du moment ?"
"L'enfant qui a reçu de fortes doses de critiques peut être devenu hypersensible. Même une remarque simple (...) faite en douceur peut lui apparaître comme une mise en accusation de sa nature (...). Votre [enfant] peut avoir besoin qu'on ferme souvent les yeux et qu'on lui manifeste souvent de l'approbation avant qu'[il] puisse tolérer le moindre signe de désapprobation (...). Mais ne vous laissez pas décourager par [ses] attitudes négatives (...). Toutes les habiletés [parentales respectueuses] (...) sont autant de façons de témoigner du respect à une personne. La plupart des gens finissent par s'y montrer sensibles."
"Notre but est de nous adresser à ce qu'il y a de meilleur chez nos enfants : leur intelligence, leur initiative, leur sens des responsabilités, leur sens de l'humour, leur capacité d'être sensibles aux besoins des autres. Nous voulons mettre fin aux discours qui blessent l'âme et nous recherchons le langage qui nourrit l'estime de soi. Nous voulons créer un climat émotionnel qui encourage les enfants à coopérer, parce qu'ils se soucient d'eux-mêmes et de nous."
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Dimanche 14 Décembre 2008
Les avantages d'accueillir les sentiments des enfants
Il est plus facile de parler à un adulte qui accueille ce que nous ressentons plutôt qu'à un adulte qui nous presse de donner une explication.
Quand une personne quel que soit son âge, connaît un moment de détresse, elle n'a pas besoin d'un accord ou d'un désaccord, elle a besoin qu'on reconnaisse ce qu'elle est en train de vivre.
Lorsqu'on accueille les sentiments des enfants, ils sont plus en mesure d'accepter les limites qu'on leur fixe.
Extraits de Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent, d'Adele Faber et Elaine Mazlish, éditions Relations Plus.
"Le langage que j'utilise n'évalue pas. J'évite les expressions qui jugent le caractère ou l'habileté d'un enfant. Je me garde de prononcer des mots tels que "stupide, maladroit, méchant" et même des termes tels que "beau, bon, merveilleux", parce qu'ils n'aident pas l'enfant ; ils le bloquent. A la place, j'utilise des mots qui décrivent. Je décris ce que je vois ; je décris ce que je ressens".
"Je ne sous-estime pas le pouvoir de l'amour. L'amour est une richesse. Mais même en matière de richesse matérielle, on se rend souvent compte qu'il faut changer les grosses sommes en menue monnaie. Dans une cabine téléphonique, une petite pièce est plus utile qu'un gros billet. De même, pour que notre amour puisse être utile à nos enfants, on doit apprendre à le découper en mots qui pourront les aider. Par exemple, chaque fois qu'ils renversent du lait ou qu'ils nous présentent un dessin pour le faire approuver. Et même lorsque nous sommes fâchés, nous pouvons encore utiliser une sorte de mot que ne détruit pas les personnes qui nous sont chères, ou qui ne leur porte pas atteinte."
"Chaque fois que c'est possible, remplacez un paragraphe par une phrase, une phrase par un mot, un mot par un geste." Nous nous sommes aperçues qu'en parlant moins, nous écoutions davantage, et d'une façon différente. Nous commencions à entendre ce qu'un enfant était vraiment en train de dire, au-delà des mots.
"Il me semble clair que notre but principal, c'est de trouver des façons d'aider nos enfants à devenir humains et forts. (...) Qu'a-t-on accompli si on a élevé un enfant brillant, un premier de la classe, qui utilise son intelligence pour manipuler les autres ? (...) Je ne m'oppose pas à ce qu'un enfant soit poli, soigné ou instruit. La question cruciale pour moi est la suivante : quelles méthodes a-t-on utilisé pour parvenir à ces fins ? S'il s'agit d'insultes, d'attaques et de menaces, alors on peut être certain qu'on a aussi enseigné à cet enfant à insulter, à attaquer ou à menacer, et à plier sous la menace. Si d'un autre côté, on utilise des méthodes qui sont humanisantes, alors on enseigne quelque chose de beaucoup plus important qu'une série de vertus isolées. On montre à l'enfant comment être une personne (...), un être humain qui peut conduire sa vie avec force et dignité."
Je suis désormais pleinement consciente du fait qu'en disant à un enfant qu'il ne ressent pas ce qu'il ressent [mais non, tu n'as pas mal !], on le dépouille de sa protection naturelle (...). On le rend également confus, on le désoriente, on le désensibilise. On le force à se construire un monde faux, fait de mots et de mécanismes de défense qui n'ont rien à voir avec sa réalité intérieure. On le sépare de ce qu'il est (...). Par contre, quand on reconnaît comme réels les sentiments d'un enfant, quel magnifique cadeau on lui offre : la force d'agir de son propre chef, la possibilité d'avoir un coeur sensible aux autres et l'occasion d'être en contact avec un être humain unique : lui-même !
Extraits de Parents épanouis, enfants épanouis d'Adele Faber et Elaine Mazlish, éditions Relations Plus. Les passages entre parenthèses sont les paroles d'Haim Ginott prononcées dans des ateliers d'habileté parentale et rapportées par les auteurs du livre.
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Mercredi 17 Octobre 2007
Libération serait-il sectaire face à l'allaitement ?
Je viens de lire cet article sur le site de Libération. Il parle de La Grande Tétée, organisée par des femmes soucieuses de promouvoir l'allaitement maternel. Le but était, le week-end dernier, de se retrouver dans une trentaine de villes françaises, et d'allaiter son bébé ou enfant en même temps et en public.
La journaliste, Marie-Dominique Arrighi décrit ce qu'elle voit : des seins avec des enfants qui les sucent, parle de bambins allaités tard (n'y avait-il pas de bébés ?), de mères qui se regardent le nombril, d'associations de soutien à l'allaitement maternel plutôt glauques voire limite sectaires... Bref ! Un tableau où les mères seraient quasiment incestueuses voire carrément à l'ouest.
Cet article m'a mise en colère. D'abord, le titre : "Les entêtées de l'allaitement" qui, je trouve, est très péjoratif et presque accusateur. Et puis le contenu. L'auteur de l'article écrit des choses qui seront forcément prises comme des vérités par les lecteurs (pourquoi une journaliste raconterait des bêtises ?) et qui vont participer à la mauvaise image de l'allaitement après 3-4 mois.
La Leche League y est dépeinte comme une véritable "organisation peu progressiste" ... n'empêche, elle est reconnue par l'Organisation Mondiale de la Santé au niveau international, mais ça n'apparaît pas dans l'article ! Les images décrites sont celles de mères engagées dans un processus d'allaitement long, certes, mais cela n'en fait pas pour autant des déséquilibrées. La journaliste reprend un argument qui dit que la Leche League conseille d'allaiter jusqu'à 2 ans... mais ce n'est pas tout à fait vrai. La Leche League recommande avant tout d'allaiter le plus longtemps possible par rapport au propre souhait de la mère et elle l'accompagne dans ce projet ! Et la seule image des enfants qui en ressort, c'est celle de petits garçons et de filles qui tyrannisent leurs mères. Parlons de l'image donnée des pères, aussi, de pauvres maris obligés de supporter les choix de leur femme et complètement mis de côté. Ils apprécieront...
Je me suis permis d'écrire à la rédaction de Libération car je pense que cet article n'est que le ressenti de la journaliste qui s'est déplacée. Dans son histoire, elle doit avoir un problème avec l'allaitement ou alors elle avait mieux à faire en ce dimanche... En tous cas, il ne me semble pas très creusé en matière de recherches sur l'allaitement. Et en tous cas pas du tout objectif. Comment peut-elle faire une généralité avec une centaine de mères ? L'image qu'elle en donne est très négative et très dévalorisante pour toutes les femmes qui choisissent d'allaiter par conviction profonde, et qui veulent mener ce projet plus loin qu'aux 3-4 mois du bébé !
J'ai conseillé à Marie-Dominique Arrighi de se rendre dans un des groupes de La Leche League pour qu'elle se rende compte de se qu'il s'y passe vraiment plutôt que de tirer dessus sans savoir. Elle y découvrira des femmes qui viennent chercher de l'écoute, du soutien, du conseil, pour pallier à cette société où les maternités (certaines) vantent le lait maternisé (sont-elles bien nettes par rapport aux grands groupes industriels ?) et où l'individualisme et la rareté des liens entre générations laissent certaines nouvelles mères dans une détresse profonde, et où par la parole avec d'autres femmes avec lesquelles elles peuvent partager, elles vont pouvoir gagner de la confiance en elles, voire de l'estime de soi. Si ça, c'est être récationnaire, je veux bien l'être ! Mais il me semble surtout que ça a à voir avec de l'humain... tout simplement. Et c'est peut-être ce qui dérange.
Bref, je suis très déçue par cet article de Libération, qui par ailleurs me semble être un journal traitant souvent des faits de société d'une manière ouverte. C'est dommage, je trouve.
Pour complèter ce coup de gueule et finir par une note positive, je conseille la lecture de ce texte de Tiphaine, que je trouve très tendre.
La peinture est de Renoir. La femme est sa compagne, en train d'allaiter leur fils Pierre. Elle est visible au musée d'Orsay à Paris. Image empruntée là.
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Mercredi 10 Octobre 2007
Tout n'est pas excusable
"Tous les sentiments sont légitimes, tous les comportements ne sont pas acceptables" (Haim Ginott, psychologue américain, 1922-1972)
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Lundi 08 Octobre 2007
Il suffit parfois de renverser la vapeur et de transformer du négatif en positif pour voir la vie d'un autre oeil
Dans ce billet de Didier, j'aime particulièrement le commentaire de Carole, qui vaut bien d'être mis en avant pour que vous en profitiez aussi :
"L'an dernier, je suis nommée maîtresse de "grands" (des CM) pour la première fois durablement. Se pose à moi la question des dictées qui fait tant souffrir de gosses (et j'en fis partie). Du coup, j'instaure des dictées où mes élèves ne comptent que les mots justes. C'est bête comme chou mais ça change la vie ! A chaque dictée, j'augmente le nombre de mots progressivement. Les élèves reportent leur total de mots justes au fil des mois sur un diagramme (et on fait d'un pierre deux coups des maths) dont la courbe ascendante leur montre à tous sans exception qu'ils ont progressé !"
Dans le même état d'esprit, l'instituteur de CE2 de ma fille partage ses exercices en trois. Il demande aux enfants de les faire en fonction de leur rapidité, de leur capacité. Certains n'ont que le premier tiers à réaliser, d'autres les deux tiers et les plus à l'aise le font en entier. Il note ensuite en fonction de ce qu'il a demandé à l'enfant. Ainsi, un élève qui n'a réalisé qu'un bout d'exercice peut avoir le même résultat qu'un plus fort qui a tout réalisé. Au fur et à mesure de l'année, il augmente le rythme... Chaque enfant peut avoir le sien et prendre confiance tranquillement en lui.
- 20:44 - rubrique Etre parents mais pas n'importe comment - - Permalien - 1 commentaire - Lu 1643 fois
Vendredi 05 Octobre 2007
Pour que les enfants lisent
Je viens de découvrir les 10 droits du lecteur énoncés par Daniel Pennac. Il dit que si les parents veulent faire aimer la lecture à leurs enfants, ils doivent leur réconnaître :
- Le droit de ne pas lire.
- Le droit de sauter des pages.
- Le droit de ne pas finir un livre.
- Le droit de le relire.
- Le droit de lire n'importe quoi.
- Le droit de s'identifier.
- Le droit de lire n'importe où.
- Le droit de grapiller.
- Le droit de lire à voix haute.
- Le droit de se taire.
Et en conclusion, Daniel Pennac ne donne qu'un seul devoir : on ne doit pas se moquer de ceux qui ne lisent pas si on veut qu'ils lisent un jour.
Personnellement, j'ajoute aussi deux autres droits :
- Le droit de lire avec un adulte, un grand frère ou une grande soeur.
- Le droit de se faire lire une histoire.
Cela me parle énormément, y compris pour le devoir de ne pas se moquer et de ne pas catégorier l'enfant dans une case de "mauvais lecteur". Chouinette n'aimait pas lire, à part des BD et des magazines. Cela me perturbait. Et puis l'an dernier, je lui ai lu, à sa demande, Harry Potter à l'école des sorciers. Elle a bien accroché et c'était un vrai délice de me replonger dans l'intrigue avec elle. Cette année, elle voulait lire le tome deux mais elle ne me trouvait pas assez rapide. Elle a lu un chapitre avec moi, un autre avec ma soeur et puis elle s'est lancée et s'est tout enfilé ! Cela m'a donné une bonne leçon !
Ce billet fait écho à celui de Didier. Du coup, je crois que je vais emprunter un de ses bouquins à la médiathèque. Peut-être celui conseillé par Tiphaine, Comme un roman ?
L'illustration est de Mario Ramos.
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Jeudi 13 Septembre 2007
La JIPLI
La JIPLI, qu'est-ce-que c'est ? C'est la Journée Internationale pour la Liberté d'Instruction. Pour la 1ère fois, elle aura lieu demain le 15 septembre 2007. Partout en France vont avoir lieu des rassemblements de parents et enfants, pour se rencontrer, discuter de l'instruction libre et faire connaître leur choix d'éducation, sur une idée de membres de l'association Les Enfants D'Abord (LED'A).
Sur le site créé pour l'occasion, on peut lire ceci : " La JIPLI a pour but de mieux faire connaître les différentes possibilités qui existent pour l’instruction des enfants et d’affirmer le ferme attachement des familles à leur liberté de choix."
Pour des informations, pour lire les textes officiels, partager vos réflexions sur l'éducation et l'instruction, vous pouvez consulter le site de LED'A. A consulter également, une bibliographie et des réponses à des questions portant sur la socialisation des enfants concernés, ou sur les méthodes possibles.
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Mardi 01 Mai 2007
Alice Miller, réflexions sur les abus et la maltraitance de l'enfant
Dans ma recherche d'une éducation différente, je suis tombée sur le site d'Alice Miller. Cette femme, docteur en philosophie, psychologie et sociologie, psychothérapeute, ainsi que chercheur sur l’enfance et auteur de 12 livres traduits en 30 langues, s'est donnée comme but d’informer les futurs parents et les anciennes victimes des conséquences graves de la maltraitance. Ces conséquences qui, grâce aux informations accessibles aujourd’hui, peuvent être enfin évitées. Elle s'est entourée de spécialistes, dont Olivier Maurel, l'auteur du livre La Fessée dont j'ai déjà parlé ici.
On peut trouver en particulier un manifeste et le texte Il n'y a pas de bonne "fessée" (une bonne claque à mes anciennes pratiques !).
L'image est empruntée à Alice Miller qui est aussi peintre. D'autres toiles sont présentées sur son site.
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Mercredi 18 Avril 2007
Vers une éducation différente
Depuis la naissance de Petite Soeur, une sorte de sérénité s'est installée dans ma tête. Je recherche des pistes pour une éducation différente, non violente et respectueuse, qui soit cohérente avec mes nouvelles aspirations.
Pour Chouinette et Crapouillot, j'ai fait ce que je pensais bien, en m'inspirant de ma propre éducation, de mon expérience professionnelle auprès des enfants, de lectures et de discussions... Tout n'est pas mauvais, bien entendu ! Je vais continuer certaines choses !
Je constate que je reprends sans cesse mes enfants si je veux : je peux crier, punir, faire du chantage, recourir à la fessée ou à la tape sur la main (j'avoue qu'avec Crapouillot, c'est arrivé souvent dans le passé), menacer. Pourtant, rien ne change. J'obtiens parfois des résultats mais un autre problème arrive et on recommence le même shéma ailleurs...
J'en ai marre des discussions, des disputes, des cris, des pleurs, des bêtises à répétition. J'ai envie au contraire de calme, de questionnement, de respect. J'ai envie de ne pas être dépassée ou découragée dès le midi. J'ai envie de ne pas souhaiter qu'ils soient à l'école.
J'ai envie de prendre du temps pour eux, de mieux comprendre leurs besoins, de leur donner envie de grandir, de les inciter à participer plutôt que de les obliger.
Je suis en pleine recherche éducative... ma petite révolution. La nôtre puisque nous sommes deux à avoir ce cheminement d'idées. Je vous en reparlerai.
- 11:15 - rubrique Etre parents mais pas n'importe comment - - Permalien - 12 commentaires - Lu 2092 fois
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- catwoomen : Un bisou en passant ! Tu manques et ta belle famille aussi...
- mcbarbara : bon anniversaire à Crapouillot!
- lespetiteschoses : Merci mcb ! ;-)
- mcbarbara : Je te souhaite un bel été avec ta famille
- mcbarbara : Bonjour Marie...
- Christel/catwoomen : Bonsoir Marie et ta petite famille !
ça fait longtemps que tu ne tiens plus ton blog à jour, quel dommage, ça manque... J'imagine qu'avec les enfants qui grandissent, tu n'as plus le temps... Gros bisous quand même !!! Christel alias catwoomen - nikkos : Qu'est-ce que tu deviens Marie ?
- lespetiteschoses : Pas grand chose... Je "cours" beaucoup et je ne trouve plus l'énergie ni l'inspiration pour entrer de nouveau dans la planète blog !
Et toi ? - nikkos : Je cours aussi ;-)J'ai une nouvelle famille depuis plusieurs mois. Fini le farniente et les soirées blog. Bises à toi Marie.
- lespetiteschoses : Contente pour toi ! :-)
- nikkos : Joyeux Noël !
- pkdilles : bonne année à toi et toute ta grande famille
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